Histoire de deux T4...

Publié le par janot51

1. Le premier mis en vente sur un site de particuliers à 240k€ depuis janvier. Visité début avril.
Il est alors au même prix sur seloger.com soit 240k€.
Le 13 juin, il passe à 230k€ sur seloger.
Aujourd'hui, il vient de paraitre à 220k€ sur le publi en tant qu'annonces de particuliers.

2. Le deuxième était à 240k€ quand je l'ai visité début avril, en mandat exclusif.
18 mai : 230k€ sur seloger toujours en mandat exclusif
10 juin : apparition à 223k€ sur seloger mais dans une autre agence (fin du mandat exclusif)
13 juin : apparition à 220k€ (apparition de l'annonce dans une autre agence)
14 juin : apparition à 215k€ sur le publi. Seulement 5k€ de différence avec le prix agence! Bien tenté mais il faudrait être idiot pour accepter ce prix.

=> Ces baisses n'augurent pas d'une baisse généralisée mais montrent la trop grande prétention de certains vendeurs qui n'hésitent pas à mettre leur bien au "prix agence" sur des sites de particuliers.
On notera que pour les 2 biens, le prix mentionné aujourd'hui dans le particulier correspond quasiment au prix initial d'agence moins les frais d'agence ce qui me fait dire qu'ils tentent une dernière fois leur chance au particulier sans baisser leur prix.

Je vais attendre que les prix demandés atteignent 200k€ (si ils les atteignent) pour commencer à négocier.

@+
janot51

Publié dans Appartements

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S
Le krach immobilier est inéluctable en France car les ménages s'endettent à des niveaux records (de plus en plus sur 30 ans) alors que les prix des loyers dans les centres-villes ont atteint le point de rupture. En effet, le nombre de locataires solvables s'effondre alors que les impayés se multiplient et poussent les propriétaires à vendre leurs bâtiments. Le marché est devenu très risqué et les pratiques de certains locataires insolvables, endettés et fournissant de faux bulletins de paie, très faciles à réaliser au moyen de logiciels en vente libre, font courir un risque aux propriétaires. Ceux qui louent actuellement des biens immobiliers savent à quel point il devient difficile de recouvrer ses créances.<br /> <br /> De plus, l'Etat procède actuellement à des opérations de vente de nombreux biens immobiliers, notamment de bâtiments historiques et châteaux à des prix inabordables alors que ce type d'investissement est très difficile à rentabiliser et que ces bâtiments ont des coûts d'entretien très élevés. L'Etat espère que les dépenses qu'il ne peut assumer seront prises en charge par des investisseurs privés, ce qui est dans le contexte actuel tout à fait improbable. On voit aujourd'hui que certains particuliers vendent des fermes dans les Deux-Sèvres à des prix comparables à ceux de châteaux alors même que la rentabilité des exploitations y est très faible et en baisse constante. Certains propriétaires s'aperçoivent aujourd'hui que leurs bâtiments deviennent invendables. <br /> <br /> Un rééquilibrage va donc s'avérer nécessaire, et ce d'autant plus que des mesures sont en train d'être adoptées afin de modérer la hausse des loyers. On observe aujourd'hui des régions enclavées et frappées par l'exode rural où l'immobilier a atteint des prix comparables à ceux de la région parisienne alors que les perspectives d'emploi y sont très restreintes. Tous ceux qui prêtent attention aux annonces immobilières peuvent remarquer que la vente de ruines s'effectue aujourd'hui en dépit du bon sens. Le meilleur conseil à donner aux ménages est aujourd'hui d'éviter un endettement insensé (sur 30 ans) afin d'acheter des propriétés de qualité médiocre (ruines ou banal parpaing enduit de crépi) à plus de 200000 euros. Dès que les acheteurs vont commencer à prendre conscience qu'ils ont été abusés, les prix vont chuter de manière spectaculaire. Ceux qui se sont engagés à acheter des bâtiments médiocres pour une fortune sont aujourd'hui floués et ruinés. Même si les vendeurs et agents immobiliers essayent encore de tromper les acheteurs (jamais cela n'a été aussi rentable qu'aujourd'hui), la situation actuelle annonce une crise immobilière sans précédent en France. <br />
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